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L'EDITO

                                 

Aux urnes, citoyens !

La descente aux enfers 

 

Tel un bateau sans équipage, notre pauvre pays sombre, chaque jour un peu plus, dans la décadence.

Nos responsables politiques, de droite comme de gauche, si tant est que cette qualification ait encore un sens, se complaisent dans une autosatisfaction consacrée par les jacasseries complaisantes des chaines télé dont les élucubrations passent de la crise fatale de la veille à celle du lendemain.

Tandis que de doctes prédicateurs terrifient le troupeau d’auditeurs et le conditionnent en vue des sévères restrictions qui les attendent, les financiers nationaux et internationaux se gavent allégrement et, dans le même temps, les pauvres s’appauvrissent et les « nababs » s’engraissent quotidiennement.

François Fillon et Jean-François Copé, tous deux prétendants à la prêtrise suprême, expliquent, aux crétins qui y croient, que les impôts nouveaux engendrés par la « crise d’hier » n’induiront pas de perte de pouvoir d’achat et, non plus, de chute de croissance ; en gros des promesses de saison printanière dans l’effondrement du sérail.

Nos législateurs du palais Bourbon, auraient (le texte n’est pas encore au JORF) mis à profit la période des vacances pour faire aboutir, au nom de la laïcité, la loi fallacieuse qui  rembourse intégralement le baptême religieux islamique.

L’inexistence de l’opposition,  de Gauche comme de Droite, au Parlement, laisse le champ  libre à la « majorité du Président » qui a, pour seul résultat palpable,  la multiplication des monologues, celle des taxes, généreusement assorties des mesures liberticides visant tout particulièrement,  les manifestations des expressions nationales et la défense des valeurs qui s’y attachent.

A défaut de multiplication des pains, le gouvernement démultiplie les « radars » et procrée chaque année,  à près de dix millions (10 000 000)  de citoyens délinquants nouveaux dits des trois kilomètres en trop.

L’« administration locale », sauf rare exception, n’est pas plus performante : en effet, il est difficilement admissible  que l’ex colonisateur, Bertrand Delanoë, taxe les parisiens d’une subvention conséquente  à la Tunisie  et honore, d’une place de la capitale, un tunisien inconnu alors que tant de patriotes  héroïques  mériteraient la reconnaissance de la ville de Paris.

Par ailleurs, ce « républicain » dont la candidature potentielle à la tête de la République française et laïque a été envisagée, finance, au nom de la « culture », la célébration 2011 du jeûne  islamique.

Quand, après avoir fêté sur le quai d’honneur du vieux port, la victoire FLN,  le 5 juillet dernier,  l’ Escartefigue de Marseille, J.C Gaudin, grand bouffaréou et professionnellement professeur d’Histoire, déclare ignorer le passé de la poseuse de bombes, Zorah Driff, qu’il a reçue en grandes pompes, force est de constater qu’il affiche, par la notoriété de son incompétence, une incompatibilité avec les fonctions d’Elu de la République et un profond mépris des Français d’Algérie de Marseille, déjà lamentablement reçus par le sinistre mafieux Gaston Deferre, lors de la débâcle gaullienne de 1962.

Par des lois électorales tripatouillées et perverses,  les villes sont administrées par des « majorités » minoritaires, voire squelettiques, qui donnent,  aux « barons » qui les gouvernent, des moyens exorbitants pour instaurer l’arbitraire et agir à leur guise, quelles que soient leurs insuffisances personnelles.

Qu’il s’agisse de l’ignorance des abstentions du 2^ème  tour qui sont, de fait, des rejets par l’électeur :

des manipulations de l’expression démocratique, du découpage sur mesure des circonscriptions, des combines des Partis politiques, des volontés capricieuses qui régissent l’attribution des délégations et surtout des indemnités qui en découlent, des lobbies d’argent, des pressions exercées par les forces confraternelles ou des votes béni-oui-oui de la majorité de circonstance.

Ces procédés portent tous atteinte à l’expression et,  ce faisant,  à la volonté du peuple pourtant déclaré souverain, lequel se trouve ainsi manipulé et instrumentalisé au profit d’élus d’uns système politique manipulé et magouillé.

Sous la Présidence de J.L Debré, nos Députés ont aggravé le déficit chronique du pays de la charge de trois années d’indemnités généreusement votées à l’unanimité en cas de non réélection d’un sortant.

Par ailleurs, ce président de l’Assemblée Nationale, représentant  le pouvoir législatif, a produit un « rapport », resté introuvable, qui a permis au président Jacques Chirac, représentant le pouvoir  exécutif, de retirer, sous la pression du président algérien Bouteflika, l’article 5 de la loi du 23 janvier 2005, qui portait reconnaissance de l’Œuvre Française en Algérie ; cela, alors même qu’il venait de la promulguer.

Soumission ou lâcheté, doctrine et gardiens de la constitution se firent honteusement sourds et muets.

A la vérité, la Cinquième République est une besace bien trop rafistolée qui n’a plus de légitimité et qui tient lieu de marmite de sorcière à mijoter les manipulations successives qui la constituent aujourd’hui et qui continuent d’en miner la cohérence et l’efficacité.

Nous venons de voir que le principe fondamental de la séparation des pouvoirs a été bafoué sans scrupule par une baronnie qui se joue des veaux qui la désignent au nom d’une démocratie trafiquée.

Il en va de même de l’ignorance du Référendum rejetant l’entrée de la Turquie dans l’Europe ; idem de la « francisation » de l’ile de Mayotte, décidée par le petit mamamouchi et validée par la béatitude du Parlement godillot.

La constitution n’est qu’une capote perméable toute faite de rustines dont les gouvernants se jouent.

Les élections présidentielles ne sont qu’une mise en scène qui permet à l’UMP et au PS d’afficher une mascarade afin d’accaparer le pouvoir ; aucun autre parti ne peut espérer concourir loyalement à cette confiscation du « Pouvoir politique» qui n’exige  le soutien que  d’un minimum de votants.
Le procédé est pire, encore, dans les communes où une majorité fabriquée par des lois de circonstance donne,  à une minorité,  une majorité absolue qui donne libre champs à l’arbitraire idéologique du baron qui bénéficie du système.

A dire vrai, les mouvements nationaux qui ont pour objectif de sauver la France n’ont rien à attendre de cette duperie constitutionnelle que sont les deux tours de la présidentielle ; ils gagneraient à dénoncer ce stratagème antidémocratique et à ne jouer ce sinistre jeu qu’à seule fin d’user des temps de paroles accaparés malhonnêtement par le « système » tant pour le premier tour que pour le second et mener l’unique bataille qui vaille : la reconquête du pouvoir législatif à l’Assemblée Nationale.

En effet, 35 à 40 % des sièges de la Chambre des Députés, arrachés par de nouveaux candidats courageux et déterminés, seraient suffisants pour sauver la démocratie, la France et ses valeurs historiques.

Il devient indispensable et urgent de briser cette entente de fait entre UMP-PS, tout à fait désastreuse, qui combine les incapacités des uns et des autres  pour couler notre pays.

Ces Députés passifs de l’UMP et du PS, assistés des particules errantes qui les accompagnent, ont prouvé, depuis plus de 50 ans, leur incapacité à projeter l’avenir de notre pays jusqu’à le pousser, chaque jour d’avantage, aux bords de la guerre civile avec, aujourd’hui, l’aggravation de la faillite financière.   

Depuis 50 ans, ils se montrent incapables de prendre les mesures dont la France a le plus grand besoin.

Sous réserves de quelques palinodies, les votes se confondent pour éviter les décisions courageuses et déterminées qui sortiraient la France de l’abîme dans lequel notre pays est poussé, depuis cinquante ans, par les mêmes Elus.

Le maire de Paris fait adopter, par un conseil municipal, ses amours de jeunesse et entre en transe devant  le tsunami démocratique de sa Tunisie natale. Il doit habiter une autre planète pour ne pas voir la présence permanente des barbus de l’extrémisme islamique. Comment, peut-il ignorer la règle élémentaire qui sous-tend le climat social des nations : l’apparence est trompeuse ; aussi conviendrait-il que  notre nostalgique des régimes de dattes se demande où sont passées ces masses islamistes révolutionnaires qui hantent les peuples musulmans de la terre.

L’épopée de Lybie ne manque pas de sel, non plus, quand elle nous offre une intervention militaire, conseillée par un philosophe de chambrée, qui vise à renverser un monarque populaire accueilli quelques mois plutôt sur les plates bandes de Paris avec sa caravane. De surcroit, nous nous trouvons à court de bombes pour aller jusqu’à la victoire ; aussi est-il cocasse que Notre Président ait précipitamment osé la célébrer avant même qu’elle soit acquise et que le « vaincu » galope à dos de chameaux dans les dunes.

Ce « Régime des Partis majoritaires par défaut » dont la complicité conduit à ignorer toutes autres propositions que les leurs, fuit les responsabilités et ne brasse que des banalités. Le seul argumentaire des uns et des autres consiste à diaboliser le Front National ou les Identitaires, sans rien avoir à proposer.

A propos des socialistes et de leur spectacle des primaires, il ne reste que le repentant Hollande et la Martine prestidigitatrice des urnes et de la diversité. Les pays d’Europe qui leur sont confiés sont là pour témoigner de leur incompétence sous tous les cieux.

Sans changement du « système  politique » du moment, le parlement n’est pas en mesure de gérer les difficultés qui assaillent notre société. Le souci essentiel de nos élus réside dans le seul renouvellement de leur mandat et, pour cela, dans le ronronnement de leur insipidité. Les règlements internes du Parti sont autant d’alibis qui leur permettent de se confondre à la grisaille de l’enclos et qui interdisent  toute initiative quelque peu courageuse.

Ainsi, nous avons pu voir que les quelques rares élus de la majorité silencieuse qui protestaient contre les insultes des « rappeurs »,  sont rentrés dans le rang sans le moindre bruit. Les taxes hallal qui sont généralisées dans nos abattoirs sont lâchement perçues comme  des « libertés », tout comme l’occupation des rues ostensiblement bloquées pour la prière !!!!

Gouvernement et Parlement pensent guérir les épidémies en modifiant le thermomètre. Il en va ainsi, des contorsions de la Gauche et des héritiers du gaullisme flamboyant qui s’arc-boutent, de la tête à l’anus, pour valider les viols de la laïcité républicaine.

L’implantation, la construction, la maintenance et le fonctionnement des mosquées, comme le profil des  minarets, sont devenus pour nos élus locaux soucieux des investissements publics d’intérêts électoralistes ou des éléments d’arts futuristes ; nos instituteurs doivent apprendre une seconde langue nationale ; la république se félicite de l’accroissement notoire de la natalité dont on nous assure qu’elle sauvera la France de sa déliquescence programmée ; notre dette nationale devient outre abyssale au point de flirter avec la situation de la Grèce, de l’Espagne,  du Portugal et de l’Italie ; notre sécurité sociale est exsangue, mais il reste assez de cochons de français pour rembourser le baptême islamique.

Les analyses et les conclusions des crises financières qui se suivent sont identiques mais, toutes, engraissent le monde des initiés et de la finance en même temps qu’elles ruinent celui des travailleurs.

En bref, comme en développé, l’urgence commande de changer de cochers avant que notre charrette ne  vire dans le fossé. Avec un parlement restauré, l’inéluctable peut encore être déjoué.
Les « Politiques » en place  ne répondent plus aux besoins de la crise sociale qui nous assaille. Voyez le spectacle de leurs danses du revenez-y. Les ténors n’ont d’autres arguments que de dénoncer l’hitlérisme du Front. Mais rien d’autre à proposer. Ecoutez leur silence sur les vrais problèmes dont ils portent la responsabilité. AME - CMU - Immigration - Islamisation - Invasion des rues, de quartiers, de villes, de banlieues - discrimination négative du gaulois, racisme anti français - haine et insulte de la France.

RIEN, Rien, Rien, Rien, Rien, Rien de Rien…

Eu égard aux dangers qui menacent nos institutions et les grands corps qui les composent, il devient vital d’avoir un sursaut national comme, seul, le peuple est capable de l’avoir.

L’entreprise ne saurait se fonder sur quelques élucubrations révolutionnaires  mais elle est à portée de main et peut résulter des urnes dès les prochaines consultations.

Il suffit de mettre fin à l’hégémonie de l’UMP et du PS dont l’échec est indiscutable, en promouvant des élus nouveaux, représentants de partis nationaux, soucieux de défendre et de restaurer les valeurs chrétiennes de notre civilisation occidentale.

Autrement dit, une action électorale pacifique et légale mais résolue, destinée à envoyer, à l’Assemblée Nationale française, 250 Députés nouveaux, déterminés à redresser la situation désastreuse que nous connaissons, permettra d’épargner à la France, le sinistre destin que nos dirigeants actuels  lui préparent.

Chacune et chacun d’entre nous détiendra cette chance en Avril 2012. Cette action n’exige aucun héroïsme, aucun sacrifice mais, seulement, la prise de conscience du danger qui nous menace et des mesures à portée de la main qui ne dépendent que de la détermination de chacune et de chacun.

Nous ne risquons rien à changer nos élus sortants pour de nouveaux, plus soucieux de sauvegarder l’avenir de la France et ayant le courage de le faire.

                                                                                                                              

Fred ARTZ                   

 

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